La transmission du succès
Symposium et Atelier PASCHAL International
Rencontre internationale des cadres du 26 au 28 avril 2009Autres pays –autres mœurs- c’est vrai aussi pour l’usine PASCHAL G. Maier GmbH qui travaille pour plus de 60 pays.
Mais pourquoi réinventer 60 fois la roue ? Pas forcément, tel est l’avis de la direction et du conseil de surveillance de PASCHAL qui ont invité les dirigeants et les responsables commerciaux des filiales de PASCHAL à un symposium et un atelier tenus à Steinach.
Le musée en plein air de la Forêt Noire de la ferme Vogt a été la destination des cadres de PASCHAL l'après-midi du lundi 27 avril. Les méthodes appliquées par les paysans pendant plus de 400 ans témoignent qu'avec le peu de moyens dont ils disposaient, de l'inventivité et du travail, il était possible de trouver des solutions qui fonctionnent toujours de nos jours et n’ont pu être dépassées que par la technique moderne.
Steinach (Baden) :
Bien que nous venions de pays différents, que nous y approvisionnions des marchés divers ayant une diversité de procédés de construction, de structures salariales, d’exigences et de lois, nous avons tout de même beaucoup de choses en commun. Ce n'est pas simplement le fait de savoir que nous proposons des produits sophistiqués et un service excellent.
Lors du symposium et de l’atelier de PASCHAL International, les participants ont présenté leur pays, leur société et se sont présentés eux-mêmes avec leurs forces, leurs réussites et les raisons qui les ont poussés à atteindre le stade où ils en sont. L’exposé de Michael Stoevelbaek, Directeur général de PASCHAL Danemark, a en particulier fait forte impression. Les autres participants venaient de Bahreïn, d’Allemagne, de Dubaï, de France, d’Inde, de Suisse, de la République Tchèque et d’Ukraine.
Le Président du Conseil de surveillance de PASCHAL, Udo Vetter, a su l’exprimer clairement : "PASCHAL International, c’est nous tous ensemble !"
Barbara R. Vetter a conclu dans son allocution finale que cette rencontre avait été un grand succès et que le travail proprement dit d’intégration et de progrès pouvait commencer.
